Je peux écrire quatre pages vides de sens, que pour l’ennuie.
Et je peux écrire quatre lignes et te faire sentire toutes une vie.
Les mots, parfois futiles,
ou plein de sens, même d’un mal habile.
Les mots je les connais bien,
ils tracent et tissent des liens.
Les mots, flatteurs, rusés et manipulateurs,
brisent, même d’un effleurement soufflé à un cœur.
Les mots, les vrai, ceux qu’on ne prononce qu’à demie,
ouvrent grand les âmes et font tomber les fusils.
Les mots, je les connais, j’en ressens la profondeur et leurs poids.
Aussi léger qu’un ange, ils peuvent faire naître l’effrois.
Qu’est-ce que le poids d’un mots?
Qu’est-ce dont l’étrange,
qui leur donne un vrai sens?
Parles , parles, parles. Écris , écris, écris.
Mais pose la main, vieille amie tu t’affaiblis.
Entre les mots et leurs crédibilités,
Il existe une magie....
Aimer jusqu'a la déchirure
S'offrir sur un plateau de désinvolture
Mieux vaut l'absence ,que l'indifférence
Qui nous propulse au désespoir De ces promesses Illusoires Chercher son Idéal ,peut-être fatal
Vaut mieux être immunisé
Que de se sentir catalogué Si l'amour existe encore sur cette terre
Rien n'efface les douleurs d'hier Exprimer nos vrais désirs
Serons- nous victimes de leurs plaisirs
Il vaut mieux partir ,sans se retourner
Et fermer la porte a tout jamais au passé